Aujourd’hui j’ai testé : être une cougar
Rappel : le mot cougar – anglicisme popularisé en France en 2009 et entériné par les dictionnaires français en 2011 – est un terme argotique qualifiant des femmes ayant des relations avec des hommes plus jeunes qu’elles. (merci wiki)
Si vous me lisez depuis un moment, vous ne serez point surpris que je ne sois pas friande de cette expression.
Peut-être parce que sexe, amour, relations, etc. ne sont à mes yeux pas questions d’âge.
Peut-être parce que des femmes courtisent/fréquentent/baisent/epousent des hommes plus jeunes qu’elles depuis la nuit des temps. Pourquoi soudainement les qualifier d’un terme particulier ?
Peut-être parce les hommes courtisent/fréquentent/baisent/epousent des femmes plus jeunes qu’eux depuis la nuit des temps. Pourquoi, eux, ne sont-ils pas qualifier d’un terme particulier ? (Vieux dégueulasse, ça ne compte pas…)
Bref. Puisque c’est dans l’air du temps, j’ai décidé de goûter un jeune innocent.
Je dois avouer que – lucky me – je ne fais pas mes 30 ans (fêtés plusieures années d’affilées, bien entendu), le bougre n’avait donc aucune idée d’où il mettait – entre autres choses – les pieds.
Moi qui ai toujours privilégié matûrité et expérience, force a été de constater, oh combien fraîcheur et vitalité juvéniles peuvent s’avérer…revigorantes. Car cet éphèbe à la peau laiteuse – sacré Normand ! – s’est révélé enjoué et infatigable.
D’ailleurs en parlant de Normand… Il s’est attelé à la découverte de mes côtes sinueuses et vallonnées – and obviously… pas vierges 😛 – tel un flibustier assoifé d’aventures.
Tel un conquérant vigoureux des temps modernes, cet adonis au corps imberbe – et majeur, hein, n’exagérons pas non plus – se lança à corps perdu à la conquête de mes gorges onduleuses, qu’il pensait jusqu’à présent inaccessible.
Quand tout à coup. C’est le drame.
Soit il s’est perdu en chemin. Soit il n’a pas eu le mémo. Ou les 2.
Soudainement, j’ai entre les jambes, un apprenti gynéco qui aurait perdu quelque chose au fond de mon vagin.
Ou alors mon Mont de Vénus aurait-il l’aspect d’une PlayStation 3 ?
Langue, doigts, mouvements… Comment dire… C’est que vous êtes un poil paresseux, cher jouvenceau.
Je suis venue, j’ai vu, je n’ai pas vaincu, mais saches my dear que tu es tout pardonné, parce que :
The End.