Aujourd’hui j’ai testé le jeune puceau qui a fait de moi son fantasme

Aubade leçon n°95 : être son unique fantasme
Evidemment, je n’exagère pas du tout. Comme d’habitude.
Il était certes jeune, mais sûrement pas puceau – enfin, je pense.
J’aurais pu le décrire comme un jeune garçon, mais cela aurait été moins accrocheur.

En tout cas, vous avez compris l’idée. Aucun HOMME, je dis bien AUCUN – et cette fois, je n’exagère pas – n’ait et ne passera jamais à côté du cadeau bombesque que je suis – mes chevilles vont bien, merci.

D’ailleurs, en fait non, ce n’est pas vrai.
Je n’ai pas vraiment testé ce jouvenceau, car il n’a jamais daigné me frôler, ni même m’effleurer… Il ne m’a littéralement jamais touché.
Nos étreintes ne furent qu’orales, verbales, présumables.

MAIS POURQUOI ?

Serait-il stupide ?
Non. Très honnêtement, je ne peux pas dire cela.
Il est même extrêmement intelligent, comme tous les hommes que j’attire dans mes filets – volontairement – ou pas. Quoiqu’un de ces hommes m’a poétiquement dit une fois : « ce sont tes gros seins ma chérie, ne cherches pas à comprendre… ».

Cependant une certaine forme de stupidité malgré tout : ne pas sauter sur une telle opportunité, seriously dude ??… Une femme sex & smart comme moi, ça ne court pas les rues – mes chevilles vont toujours aussi bien, merci.

Serait-il timide ?
Aubade Leçon n°35 : stimuler la timidité

Oh que oui ! Ça en est même attendrissant…2 jours et demi ! Parce que la timidité pour moi c’est comme un cunni, c’est plaisant tant que ça ne dure pas trop longtemps.
Car choupi tu as ici affaire à une femme impatiente et sûre d’elle. Quand j’ai un plat appétissant à portée de mains, j’aime prendre le temps de le déguster, certes… Mais quand il est chaud ! Je me jette dessus avec plaisir et délectation, pour mieux m’en lécher les babines. Yu-mmy.

Conclusion
Mais après lui avoir tendu différentes perches qu’il n’a pas saisies, j’en ai donc déduis que nos échanges virtuels le satisfaisaient. Qu’imaginer, rêver, visualiser ce qu’il voulait fiévreusement faire de mes courbes affriolantes le rassasiait. Je représentais un fantasme qu’il n’avait aucune intention d’assouvir, en tout cas pour l’instant.
Moi, je n’ai pas son temps, alors next. The End.

PS : il aura finalement mis 6 mois 9 semaines 6 jours 9 heurs 6 minutes et 9 secondes pour m’apprécier à ma juste valeur. Timide et sans complexe le coquin héhé… Je vous passe les détails, mais pour faire court, je dirais que parfois, ça vaut le coup d’être patiente 😉 Et pour plus de leçons, c’est par ici.

Aubade leçon n°59 : L'apprivoiser sans le brusquer