Selon ses dires, ce n’était pourtant pas un éjaculateur précoce…
J’en ai déjà croisé un d’ailleurs, je vous raconterais un autre jour. 😉

Celui que j’ai baptisé l’homme qui jouissait plus vite que son ombre s’appelle Rocco*.
Sur le papier, il a tout bon. Prometteur le coco : charmant, élégant, charismatique, sûr de lui – à la limite de l’arrogance, mais ça ne me dérange pas, je flirte moi-même avec cette frontière. Et pour couronner le tout, dans la fleur de l’âge, comme je les aime.

C’est donc gaiement que je concède un premier date autour d’un café et rapidement que j’accepte de me rendre dans son pas humble du tout demeure.
Après tout, lorsque l’on me présente un plat aux effluves alléchants, je le goute ! Je ne dis pas au chef « oh non hmm, gardez-le hmm, je le goutterais demain… ».

Et là c’est le drame.
Après 10 minutes d’étreintes – à peine ! – je me retrouve à califourchon – ben oui, je n’étais pas venue jouer aux cartes – sur cet homme, qui toutes les 8 secondes, me demande d’arrêter de bouger ! Je crois rêver !!! Une succession de vas sans viens. Car Monsieur est – déjà – au bord de l’explosion. Et je suis toujours habillée, ça promet… pas !
En même temps, c’est de ma faute. Si je n’étais pas si excitante, il ne serait surement pas si émoustillé. Mes chevilles se portent toujours très bien, merci. LOL

Ce qui reste le plus décevant, c’est que je ne l’ai pas baptisé Rocco pour rien.
Vous voyez où je veux en venir n’est-ce pas ?

Probablement la plus belle verge que je n’ai jamais vu…d’aussi près. hihi
Un phallus magnifiquement long, vigoureux, fier et circoncis. Chez un homme blanc, c’est rare (mauvaiiiiiiise !!!). J’en suis restée bouche bée et frustrée aussi. Parce que ne pas se servir correctement d’un tel engin, c’est péché. C’est criminel.

Je suis venue, j’ai vu et je n’ai pas vaincu……
To be continued ?.

*Le nom de la personne citée a volontairement été modifié pour préserver son anonymat.