Le jour où je me suis faite larguer via WhatsApp
Je déroge un peu à la règle aujourd’hui. Il ne s’agit pas d’un test, mais d’une anecdote.
Il me semble, qu’il y a quelques années, une rupture par SMS, c’était déjà faire preuve de couardise et de goujaterie. Alors utiliser What’s App de nos jours, qu’est-ce que c’est ?? C’est pire ou c’est simplement s’adapter ?
On chope online. On flirt online. On date et on baise online.
Logiquement, on se sépare donc online aussi. Voilà la nouvelle loi de l‘évolution.
C’est bien pratique en même temps parce que, bien entendu, une femme, en cas de séparation, ça geint, ça pleure, ça hurle, ça frappe, ça frôle même l’hystérie,…
Mais non Julien*. (*certains noms n’ont pas été changés pour ne pas protéger l’anonymat des personnes concernées). Laisses moi te dire que non.
Toutes les femmes ne frôlent pas le nervous breakdown quand un homme préfère lui dire stop.
D’autant plus Julien* que tu n’étais qu’un PQNC* (*Plan Q Non Confirmé).
Soyons sérieux. Nous n’étions pas en couple. C’était bien clair.
Nous nous sommes vus 4 fois. Nous avons fait l’amour 2 fois.
A ce stade, en ce qui me concerne, nous nous goûtions encore.
J’ai bien dit Julien…? Un instant… ça me revient maintenant…
C’est à toi que j’ai dit que je n’appréciais pas vraiment comment tu lichais, suçotais, aspirais mes pauvres nymphes en souffrance ?…
Hmm ok.
C’est aussi à toi que j’ai demandé d’éviter de grattouiller, titiller, lutiner mon clitoris de tes doigts dépourvu de délicatesse comme si tu souhaitais lui envoyer je ne sais quel message en morse ?…
Hmm je vois.
J’ai également refusé un plan à trois avec toi et ta meilleure amie ?…
Hmm effectivement.
Bon. Sans rancune.