Aujourd’hui j’ai testé The Normal Heart
Je vous vois venir. Non. Il ne s’agit en aucun cas d’une expression/métaphore issue de mon invention. Pour ceux/celles qui ne lisent pas la presse ameriwaine, il s’agit d’un téléfilm.
Le Pitch
The Normal Heart, c’est une adaptation de la pièce The Normal Heart, qui décrit la montée en puissance du virus du sida dans les années 80 et le combat d’un écrivain-activiste, Ned Weeks, fondateur d’un groupe d’aide luttant contre la maladie.
Pourquoi j’ai testé
Parce que des hommes, beaucoup d’hommes.
Parce que hommes + gays + 80’s signifient : torse, nu, bronzé, musclé, slip moulant,… dois-je vraiment continuer ?…
Parce que Taylor Kitsch. Malgré son beaugossitude instable et son allure « je suis beau, mais c’est fatiguant, donc certains jours, j’ai envie d’avoir l’air moche alors je ne me lave/rase pas », souvent quand même, ça donne ça. Alors on lui pardonne.
Maintenant vous pouvez sécher vos larmes. On continue.
Et parce Matt Bomer.
Pour ceux/celles qui ne lisent toujours pas la presse amewicaine et qui n’ont pas non plus de télévision/Internet/smartphone/vie/globes occulaires etc. Voici Matt Bomer.
Maintenant vous pouvez fermer la bouche et essuyer la coulée de salive, qui sèche sur le coin gauche de vos lèvres. Cet homme est le péché incarné. Le fruit défendu.
Avec lui l’expression, « trop beau pour être vrai » prend tout son sens.
Dans ce triste et émouvant téléfilm, Matt Bomer est à la quintessence de sa beauté pendant…43min… – et c’est déjà pas mal – parce qu’après bon, ça se gâte.
Conclusion
Pour un homme comme ça, je me fais pousser un Abercrombie*, je vire gay et je me mets à la sodomie. Rien que ca.
PS : le film était sympa. Mais bon, ce n’est pas une revue cinéma ici. 😛
PS bis : par contre, vous pouvez lire une vraie critique ici 😉
* je ne vais pas vous faire un dessin tout de meme…