Aujourd’hui j’ai testé « faire ma Lovelace »
Pour ceux qui auraient passé quatre décennies dans une cave ou pour les plus jeunes d’entre nous qui n’auraient pas connu les walkmans, les appareils photos jetables et le Nokia 3310, « faire ma Lovelace » équivaut à faire une deep throat ou une gorge profonde.
Cette expression, je l’ai tiré du nom de l’une des 1ère star du cinéma pornographique : Linda Lovelace. En 1972, elle entre, par hasard, dans l’histoire des États-Unis grâce au film Deep Throat dans lequel sa technique de fellation, inspirée de celle des avaleurs de sabres, la hisse aux sommets.

Même s’il m’a souvent été dit que je suce aussi bien que j’écris – dédicace chéri 😉 – je me raidis néanmoins à la vue de ce phallus que je dois enfoncer le plus loin possible dans ma bouche, puis dans ma gorge.
Parce qu’évidemment, il ne s’agit pas de n’importe pénis. C’est LA verge.
17,74 cm en érection.
Quoi ? Si Si c’est véridique je vous assure ! Bande de jaloux !! – dédicace again chéri 😉
Cependant, je ne me démonte pas, au contraire, je lèche, je suce, je tète, je pompe et j’aspire, je gobe, j’enfonce encore, encore et encore au maximum de ma capacité buccale.
Pendant ce temps-là dans ma tête :

Pendant ce temps-là mon homme : comme dirait Greg, il est « dur de partout. » 😀
Il geint, il couine, il souffre de plaisir – haha I’ve got the power ! – il se redresse, il bande à mort. Et….. il s’abandonne à moi au bout de…… 28 minutes ! – of course j’ai chronométré.
Quoi ? Si Si c’est véridique je vous assure ! Bande de jaloux !! – dédicace to myself 😉
PS : « Woooww chérie !!! Tu es aussi cool que tes seins sont bandants », s’est-il exclamé, en reprenant sa respiration… Un vrai poète mon mec hein…